Passe au contenu principal

À l'heure où les risques cyber et technologiques s'accélèrent, les organisations sont en première ligne. Quelle que soit leur taille ou le secteur dans lequel elles opèrent, elles devront faire face à des défis. 

Notre enquête auprès des chefs d'entreprise du monde entier révèle que l'intelligence artificielle générative (IA) est perçue comme un "ami" et un "ennemi".

Les principaux éléments du rapport sont les suivants :

•     27 % des chefs d’entreprises sont préoccupés par le risque d'obsolescence technologique face aux nouvelles technologies (telles que l'IA), une proportion qui passera à 28 % d'ici à 2025. Et 25 % estiment que la menace posée par les technologies perturbatrices est le principal risque auquel ils sont confrontés en 2024. 
•    La rapidité d'adoption des technologies de l'IA se reflète également dans les données de notre étude : une entreprise sur quatre (25 %) interrogée prévoit d'investir dans l'IA cette année pour améliorer la résilience de son entreprise face aux risques, et 68 % pensent que l'IA entraînera le remplacement d'emplois au sein de leur entreprise en 2024.ᵛⁱⁱ 
•    Les préoccupations relatives à l'IA, aux perturbations technologiques et aux risques liés à la propriété intellectuelle semblent créer une sorte d'angle mort en ce qui concerne les risques cyber. En effet, le pourcentage de dirigeants qui considèrent les risques cyber comme leur principale préoccupation est passé de 34 % (au plus fort de la "pandémie de ransomwares" en 2021)ⁱᵛ à 26 % aujourd'hui. Ces chiffres contrastent fortement avec la réalité du paysage actuel des risques cyber. 
•    Face à des chaînes d'exécution de la cybercriminalité de plus en plus complexe et difficiles à anticiper, à la désinformation (facteur de risque important), et aux nouvelles réglementations à venir, les conseils d'administration doivent être prêts à gérer les risques cyber et technologiques au fur et à mesure de leur évolution. Pour ce faire, en mettant en place une veille sur les menaces permettant d’avoir une meilleure visibilité, en élaborant des stratégies de résilience qui anticipent ces risques et en créant un plan de réponse en cas de cyberattaque, les entreprises disposeront d'une cyberdéfense efficace.

    Le niveau de préparation aux risque cyber a légèrement baissé, passant de 80 % en 2022ᵛ à 75 % cette année.ⁱⁱⁱ

    Près d'un quart (24 %) des dirigeants interrogés prévoient d'investir dans la gestion des risques liés à la cybersécurité.

Le secteur de l'assurance a un rôle important à jouer pour aider les entreprises à naviguer dans le paysage évolutif des risques cybers et technologiques. En exploitant les données relatives aux menaces, aux incidents et  aux sinistres et en les traduisant en conseils pratiques pour renforcer la résilience, nous pouvons aider nos clients à mieux atténuer les risques.

Comme nous l'avons vu lors de la panne informatique de CrowdStrike en juillet, les entreprises doivent rester souples afin d'identifier rapidement les vulnérabilités et de corriger les systèmes lorsque des problèmes surviennent.

 

ⁱⁱⁱ. Les réponses « Pas très bien préparé » et « Pas du tout préparé » sont combinées.
ⁱᵛ. Ce chiffre est basé sur une étude menée en janvier et février 2021 auprès de 1 000 cadres d'entreprises basées au Royaume-Uni et aux États-Unis, de différentes tailles, opérant dans 10 grands secteurs industriels avec des activités internationales.
ᵛ. Ce chiffre est basé sur une étude réalisée en janvier 2022 auprès de 2 000 cadres d'entreprises de différentes tailles basées au Royaume-Uni, aux États-Unis, au Canada et à Singapour, opérant dans 10 grands secteurs industriels avec des activités internationales.
ᵛⁱⁱ. L'enquête de cette année a été réalisée entre le 05.01.2024 et le 15.01.2024 auprès de 3 500 cadres basés au Royaume-Uni, aux États-Unis, au Canada, à Singapour, en France, en Allemagne et en Espagne, de différentes tailles, opérant dans 9 grands secteurs d'activité avec des opérations internationales.

Les informations contenues dans cette communication sont destinées à la gestion générale des risques. Il est entendu que Beazley ne fournit pas de services ou de conseils juridiques. Elles ne doivent pas être interprétées ou considérées comme des conseils juridiques et ne doivent pas se substituer à la consultation d'un avocat. Bien qu'un soin raisonnable ait été apporté à la préparation des informations présentées dans cette communication, Beazley décline toute responsabilité pour les erreurs qu'elle pourrait contenir et les pertes prétendument attribuables à ces informations. Les produits et services ne sont pas des produits d’assurance et sont fournis par des sociétés affiliées à Beazley ainsi que des société tierces, qui ne sont pas des compagnies d'assurance. Des conditions différentes peuvent s'appliquer.